top of page
logis bar réception
logis bar réception
Bienvenue dans une Maison de Femmes !

 

Clin d'oeil à GEORGE SAND, l'épicurienne qui faisait fi des conventions et bousculait les mœurs de son époque !

Nous aimons tellement ce personnage pour sa personnalité audacieuse et intrépide que nous l’avons honoré du nom de la Maison.

Dans les huits logis, l’illustrateur Szabolcs Kariko a mis en image huits femmes ayant marqué l’Histoire de France, chacune s’étant distinguée dans des univers différents.

Ici, les femmes sont à l’honneur !

Peut-être la moins connue, JEANNE BARRET, l'exploratrice botaniste qui est la première femme à avoir fait le tour du monde et à qui l’on doit la découverte de plus de 6000 espèces de plantes.

EDITH PIAF, la passionnée, la plus connue des “titis” parisiennes qui a fait chavirer les coeurs et saupoudrer du rose dans nos vies.

 

COLETTE, l'insoumise, femme aux multiples facettes, à la fois romancière et actrice, tantôt mariée à un homme, tantôt amante d’une femme, elle se laissera guider toute sa vie par ses envies avec succès.

OLYMPE DE GOUGE, héroïne révolutionnaire, elle oeuvre pour l’abolition de l’esclavage, prône ardemment l’émancipation féminine jusqu’à publier sa fameuse “Déclaration des droits de La Femme et de La Citoyenne” ce qui lui vaudra sa place sur l’échafaud dans la foulée.

MARIE CURIE, l'ambitieuse, a atteint des sommets scientifiques auprès de son mari. Elle est encore à ce jour, la seule femme scientifique à obtenir deux prix Nobel.

JOSÉPHINE BAKER, la généreuse, fameuse danseuse de cabaret, mais pas seulement ! Elle chante aussi, puis devient agent du contre-espionnage, s’engage dans l’armée de l’air, elle se révolte contre le racisme auprès de Martin Luther King et finit par adopter 12 enfants originaires du monde entier qu’elle nomme “sa tribu Arc en Ciel” !

CAMILLE CLAUDEL, la fragile, aussi talentueuse que tumultueuse, elle marque l’art de la sculpture par sa mélancolie qui frôle la folie due à sa relation passionnée avec Rodin.

Elles sont toutes fascinantes, n’est-ce pas ?

bottom of page